moisson urbaine

le quotidien Globe and Mail rapportait dans un article le samedi 30 juillet qu’il y a un mouvement à Toronto pour ramasser les fruits murs lors de la saison des moissons. il est vrai que les villes (et les campagnes) regorgent d’aliments comestibles. soit d’anciens pommiers, des amélanchiers, des framboisiers, des vignes, des bleuets, des canneberges: il existe énormément d’arbres à fruits plantés autrefois. on peut aussi trouver des fruits et légumes qui poussent à l’état sauvage et qui pourraient en régaler plus d’un: champignons, oignons, ail, mûres, topinambour, baie de sureau, noisettes, épices de toutes sortes.

il n’est jamais trop tard pour choisir autre chose que les fruits et légumes importés qu nous servent la plupart des méga-épiceries. il est dommage de trouver des produits importés quand ils sont en saison chez soit. au Nouveau-Brunswick, on peu manger local: Transition Cocagne et Récolte de chez-nous.